Comment financer les dépenses de santé ?

Même avec un revenu moyen, il n’est pas souvent facile de prendre en charge ses dépenses de santé. Avec le coût élevé des frais de consultation, le coût des médicaments et le montant élevé des frais d’hospitalisation, nombreux sont ceux obligés de renoncer aux soins faute de budget. Néanmoins, il existe différentes sortes de possibilités de financement à caractère public et privé, et qui peuvent prendre en charge partiellement ou totalement les dépenses de santé.

La sécurité sociale

Une aide publique, la sécurité sociale est principalement divisée en quatre branches dont la maternité et les maladies, les accidents de travail, la famille et retraite, et enfin les cotisations et recouvrement. Pour financer alors ses dépenses de santé, elle s’avère être une alternative idéale avec l’assurance maladie, qui peut donc être gérée par une personne publique, un organisme privé ou un organisme mixte. Dans ce cas, il suffit de payer une cotisation annuelle et on contrepartie on reçoit un remboursement à la hauteur d’un seuil déjà indiqué préalablement. Ce régime de sécurité sociale permet donc de se faire soigner selon ses besoins selon ses niveaux de ressources et ce quel que soit son âge.

La mutuelle santé

L’assurance maladie de la sécurité sociale ne prend totalement pas en charge toutes les dépenses de santé. Pour avoir droit à un remboursement à 100%, il faut alors souscrire une assurance complémentaire, qui est donc la mutuelle santé. Cette dernière est régie par le code des assurances et fonctionne selon le système de couverture des assurances privés à l’encontre de l’assurance maladie à la charge de l’Etat.
Pour souscrire à une mutuelle santé, il suffit de voir toutes les offres disponibles et s’y souscrire. Pour bien choisir cependant une comparaison s’impose, qui se fait généralement sur la base de la réputation, du professionnalisme, du niveau de remboursement et des devis de participation mensuelle. Il est cependant important de signaler que les médecines alternatives ou médecines douces ne sont pas prises en charge par la mutuelle-santé.

Les prêts personnels des banques

Pour ceux qui ont besoin de faire recours aux soins homéopathiques, aux soins alternatifs et autres formes de soins non pris en charge par la sécurité sociale et par la mutuelle santé, il faudrait couvrir les dépenses de santé par les revenus propres. Si les revenus n’arrivent pas cependant à satisfaire tous ses besoins de santé, il reste toujours la solution des prêts bancaires. Avec un crédit revolving, qui ouvre la porte à un crédit de 5 000 euros maximum par mois, on aura de quoi régler les prestations des herboristes et des soigneurs. Les prêts personnels des banques ne sont pas sujets à des justificatifs d’utilisation. Le montant qui sera prêté peut être utilisé librement. Néanmoins, ce ne sont pas toutes les demandes qui sont accordées. Certaines conditions peuvent être imposées et une étude approfondie du profil de l’emprunteur peut être effectué par les institutions bancaires.
Les banques proposent aussi depuis peu un prêt spécial pour les soins médicaux, avec un taux promotionnel au début de la souscription. La durée de remboursement peut varier entre 6 à 36 mois et les taux d’intérêt sont relativement faibles.

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